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UNAT a considéré l'appel du Secrétaire général, en particulier de savoir si la décision de l'UNRWA DT d'accorder des allocations spéciales pour des fonctions supplémentaires exercées et une compensation pour les dommages-intérêts moraux était une erreur de droit ou de fait, ce qui a entraîné une décision manifestement déraisonnable. En ce qui concerne l'allocation pour des droits supplémentaires, Unat a noté qu'il était réglé dans sa jurisprudence que l'agence disposait de pouvoirs discrétionnaires de payer les indemnités spéciales, qui doivent être exercées raisonnablement conformément à...

Unat a examiné si Unrwa dt a conclu correctement que la demande était une ratione materiae non réceptable. Unat a constaté que l'appelant n'avait pas référé les motifs d'appel sur lesquels il s'est appuyé, conformément à l'article 2 (1) du statut de l'UNAT. Unat a soutenu que, parce que l'appelant n'a pas identifié les défauts ou les motifs qui ont rendu la décision contestée erronée, l'appel doit échouer pour cette seule raison. En considérant le reste de l'appel, Unat a également constaté que l'appelant savait, ou raisonnablement aurait dû savoir, que sa demande d'allocation avait été...

Unat a considéré l'appel. Unat a noté que le système disciplinaire de l’UNRWA prévoit que le commissaire général ne peut imposer que de telles mesures disciplinaires aux membres actuels du personnel. UNAT a donc constaté que l'UNRWA DT avait commis une erreur en concluant que le commissaire général avait le droit d'imposer la mesure disciplinaire d'une amende après la fin de l'emploi de l'appelant et a jugé que la mesure disciplinaire devait être annulée. En ce qui concerne la demande d’indemnisation de l’appelant, UNAT a noté qu’elle ne peut accorder une indemnisation que pour préjudice dans...

Unat a jugé que la première fois que la demande de mise en œuvre de l'appelant de la sanction (excuses à l'appelant) était soulevée était en appel et qu'il n'était donc pas à recevoir, cependant, Unat a jugé que l'appelant n'avait pas été interdit de demander à l'UNRWA d'expliquer son appliquer son Lettre de censure. Sur la demande de dommages moraux de l’appelant, Unat n'a trouvé aucune erreur dans l'ordonnance de l'UNRWA DT rejetant la demande de dommages-intérêts moraux de l'appelant car il n'y avait aucune preuve de préjudice. UNAT a rejeté l'appel et a confirmé le jugement de l'UNRWA DT.

En appel, UNAT a limité son examen à l'émission du montant de la rémunération attribuée au lieu de l'annulation et au montant de la rémunération accordé pour préjudice. Sur la question de la rémunération à la place, Unat a jugé que l'appelant n'avait fait avancer aucune erreur de droit ou de fait conduisant à une décision manifestement déraisonnable. UNAT a noté qu'en lien, l'indemnisation n'est pas destinée à indemniser les préjudices possibles subis par la personne blessée, car c'est l'objectif spécifique de l'indemnisation de préjudice. Unat a jugé que l'UNRWA DT avait le pouvoir...

Unat a considéré que les demandes de 1994 et 2018 faites par l'appelant pour modifier sa date de naissance étaient essentiellement les mêmes demandes. Unat a rappelé que la réitération d'une décision administrative originale si elle est interrogée à plusieurs reprises, ne réinitialise pas l'horloge par rapport au calendrier statutaire. Unat a jugé que la période statutaire au cours de laquelle l'appelant devait déposer une contestation à la décision de 1994 a expiré en 1997. Unat a jugé que l'UNRWA DT ne s'est pas trompé en rejetant la demande. En examinant la demande de l’intimé d’attribuer...

Unat a jugé que l'UNRWA DT n'avait pas résolu certaines questions avant, à l'égard de laquelle l'appelant a droit à une décision motivée. Unat a jugé que l'UNRWA DT avait commis une erreur en refusant la demande implicite de l'appelant pour une audience en personne, du moins sans l'avoir examinée et les raisons. Unat a jugé que la résiliation de la nomination de l’appelant ne pouvait pas être évaluée comme hâtive, prématurée ou arbitraire, avec une référence particulière au processus du conseil médical. Unat a jugé que toute opportunité de la nomination de l'appelant à cette vacance était donc...

Unat a considéré deux appels (consolidés) par M. Elshanti du jugement n ° UNRWA / DT / 2019/051 et le jugement n ° UNRWA / DT / 2019/065 respectivement. Lors de la consolidation des cas, Unat a jugé que l’UNRWA DT avait un large pouvoir discrétionnaire dans la gestion de ses cas et qu’il interviendrait uniquement dans des cas clairs de déni de la légalité de la loi affectant le droit d’une partie de produire des preuves. En conséquence, Unat a rejeté les arguments de M. Elshanti contre la consolidation. Unat a soutenu qu'il n'y avait aucun mérite aux affirmations de M. Elshanti selon...

Le membre du personnel soutient que le «fait décisif» qui lui était inconnu et le tribunal d'appel était l'interprétation et la demande erronées du cas au cas de l'article 10 (5) du statut de l'UNRWA DT, Règlement 11.3 du Règlement sur le personnel international de l'UNRWA et l'article 9, paragraphe 1, a) du statut Unat. INAT n'étaient pas d'accord qu'une variance dans l'interprétation ou l'application de la loi de l'affaire à l'affaire constitue un «fait décisif» qui justifierait la révision. Le Tribunal a rejeté la demande, concluant qu'elle ne répondait pas aux exigences légales et qu'il s...