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La demande a été accueillie en partie.

Le Tribunal a annulé la mesure disciplinaire de cessation de service imposée au requérant et a ordonné sa réintégration ou, à titre subsidiaire, le versement d'une indemnité calculée sur la base de deux (2) années de salaire de base net.

Pour le reste, la décision du défendeur est AFFIRMÉE et les requêtes du requérant sont rejetées.

Appealed

L'UNDT a estimé que l'imposition d'une sanction n'est pas un simple exercice mécanique, puisque la sanction ne doit pas être « plus excessive qu'il n'est nécessaire pour obtenir le résultat souhaité.

Un blâme écrit aurait été une « conséquence significative » appropriée et suffisante pour faire comprendre au requérant l'erreur de ses actions. Le dossier indique que le requérant a reconnu qu'il aurait dû demander une autorisation avant d'enregistrer sa société.

Le Tribunal estime donc que la sanction en l'espèce était disproportionnée par rapport à la faute commise en ajoutant au blâme écrit une...

Appealed

le Tribunal se prononce en faveur de la requérante, en concluant qu'elle a agi de bonne foi dans ses efforts pour obtenir le traitement médical de son fils et dans la présentation subséquente des factures médicales pour remboursement.

Le Tribunal estime que la décision contestée mettant fin à l'emploi de la requérante était donc illégale.

Le fait qu'un enquêteur ait suivi le témoignage d'un témoin du défendeur pendant qu'elle témoignait est contraire aux normes éthiques et procédurales attendues d'un témoin. La décision de ne pas tenir compte de cette règle procédurale fondamentale démontre non...

En l'espèce, il y a manifestement absence de mens rea. Le défendeur n'a fourni aucune preuve pour étayer l'affirmation selon laquelle la requérante aurait illégalement fait de fausses déclarations ou aurait eu l'intention de frauder ou de tromper lors de la présentation de sa demande. La requérante n'a pas sciemment fait de fausses déclarations ou présenté des documents falsifiés. Elle a présenté un certificat de naissance contenant les noms et la profession des deux parents. Elle n'a pas menti en remplissant son questionnaire sur l'état de dépendance (formulaire P84), puisqu'elle a écrit qu...

Le Tribunal a estimé que les faits à l'origine de la sanction disciplinaire étaient prouvés par des preuves claires et convaincantes et qu'ils étaient très graves. La requérante a admis les faits sur la base desquels la sanction disciplinaire a été prononcée. Le Tribunal a rejeté les divers arguments de la requérante selon lesquels elle n'avait pas restitué les sommes déposées par erreur sur son compte personnel par l'UNFCU, estimant qu'il n'y avait aucune preuve que la requérante avait droit à l'annexe D ou à des prestations de séparation, et que le fait que l'UNFCU n'ait pas précisé qui...

Appealed

Le Tribunal décidé de rejeter la requête.

À la lumière des faits établis et de la constatation de faute, les trois allégations mentionnées contenues dans la lettre portant sanction, relatives à des « atteintes sexuelles », constituent des « fautes graves » selon les termes de l’alinéa (b) de l’article 10.1 du Statut du personnel. En outre, au regard de l’alinéa (a) de la disposition 10.2 du Règlement du personnel, sur le fondement duquel la sanction a été imposée, l’imposition du renvoi est une possibilité.

Le renvoi est l’une des sanctions les plus sévères qui puissent être imposées dans une...

Le Tribunal a défini les questions générales de la présente affaire comme suit :

Le requérant a-t-il délibérément induit l'Organisation en erreur ?

Bien qu'il y ait eu de nombreux désaccords factuels entre les parties, y compris en ce qui concerne les détails des gains financiers et des transactions dans lesquelles le requérant était impliqué, le Tribunal a estimé qu'il n'était pas nécessaire de résoudre tous ces différends dans le cadre de cet exercice de contrôle judiciaire. Le requérant a admis ses relations financières étendues avec M. David Kendrick et qu'il n'avait pas divulgué ces...

Le Tribunal a conclu que le défendeur n'était pas en mesure de démontrer que les faits sur lesquels la mesure disciplinaire était fondée étaient établis par des preuves claires et convaincantes, comme l'exige par ailleurs le Tribunal d'appel dans sa jurisprudence.

Ayant conclu que les faits sur lesquels était fondée la mesure disciplinaire n'avaient pas été établis par des preuves claires et convaincantes, le Tribunal a également conclu qu'il n'y avait pas de faute avérée de la part du requérant.

Compte tenu du constat d'absence de faute du Requérant, le Tribunal a également annulé la sanction...

Le requérant a contesté la légalité, la raison et l’équité de la décision du Bureau de l’audit interne et des enquêtes (« OIAI ») de ne pas ouvrir d’enquête sur sa plainte pour harcèlement et abus de pouvoir présumés. Il a affirmé que si les questions liées au travail ne constituent normalement pas une conduite interdite, la politique de l’UNICEF sur les conduites interdites n’exclut pas que les questions liées au rendement soient considérées comme du harcèlement et de l’abus de pouvoir.

La question soumise au Tribunal était de déterminer si les arguments du requérant relèvent des désaccords...

Chacune des trois allégations était grave en soi. La nature complexe des allégations ne permettait pas d'envisager d'autre sanction que la séparation. La politique de tolérance zéro de l'Organisation implique également des sanctions sévères pour ceux qui se livrent au harcèlement (voir, par exemple, le Tribunal d'appel dans l'affaire Conteh 2021-UNAT-1171, paragraphe 41).

Le dossier indique que le décideur a pesé tous les facteurs, tant atténuants qu'aggravants, avant d'arriver à la décision contestée. Etant donné qu'il y avait suffisamment de preuves que tous les facteurs avaient été dûment...