UNAT a constaté qu'il n'y avait aucune preuve de dommages-intérêts ou de blessures dans cette affaire. UNAT a réaffirmé le principe selon lequel une récompense de dommages moraux doit être étayée par des preuves spécifiques.
Il y avait suffisamment de matériel avant que le Secrétaire général, après une enquête équitable et impartiale, atteigne une conclusion d'inconduite grave. La sanction du licenciement sommaire était juste et proportionnée à la gravité des infractions. Les demandes sont rejetées.
Aucune espérance de renouvellement. Les contrats à durée déterminée, tels que le demandeur en l'espèce, ne portent pas d'espérance de renouvellement, mais une décision de ne pas renouveler un contrat ne peut pas être entachée par des ultiges ou des considérations et des raisons étrangères doivent être correctement étayées par des faits. Exception. Bien que des exceptions aux règles du personnel puissent être établies, une exception ne serait pas justifiée dans le cas du demandeur, car le poste à laquelle la nomination du demandeur était prévue avait été remplie par un autre membre du personnel...
Le demandeur a également contesté l'adéquation de la rémunération qui lui a été versée pour avoir été placée dans un environnement de travail hostile. L'UNDT a constaté que l'administration était obligée, à l'expiration des trois années, de prendre la décision de séparer le demandeur ou de lui accorder une nomination permanente. La dépendance de l'administration à l'égard de l'ancienne règle 112.2 (b) (sur les exceptions des règles du personnel) pour étendre davantage son contrat probatoire était inappropriée, car les exigences procédurales de cette règle du personnel n'ont pas été respectées...
Résultat: jugement pour le demandeur. Les parties ont reçu l'ordre de tenter de résoudre la question de l'allégement approprié, échouant à laquelle il serait considéré par l'UNDT. L'UNDT a constaté que l'exigence de prendre une rupture de service était illégale et ne reflétait pas les faits réels car aucune rupture ou séparation réelle n'a eu lieu. L'UNDT a constaté qu'il n'y avait aucune obligation légale pour que le demandeur soit mis en nomination d'une durée limitée entre le 5 et le 30 juin 2009, et la décision de lui donner une nomination d'une durée limitée a été manifestement...
L'UNDT a constaté que le requérant avait une position personnelle pour présenter sa réclamation devant le Tribunal, mais il n'a pas établi que la décision de l'administration de refuser de lui accorder une exception en vertu de la règle 12.3 (b) et de procéder au paiement de son droit illégal était illégal . Le Tribunal a en outre constaté que le demandeur avait manifestement abusé de la procédure dont celle-ci et une attribution de frais (5 000 $) étaient appropriées en vertu de l'art. 10.6 du statut. L'affirmation de l'intimé selon lequel le demandeur n'a pas de locus standi a été considéré...