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Unat a soutenu que l'UNRWA DT avait correctement déterminé que la demande n'était pas à recevoir. Unat a jugé que l'appelant n'avait pas établi que l'UNRWA DT avait commis des erreurs de droit ou de fait pour prendre sa décision. Unat a jugé que l'affirmation de l'appelant selon laquelle il s'est vu refuser une représentation légale n'avait pas été faite avant Unrwa DT, bien que ce soit une circonstance qui était connue de l'appelant à l'époque. Unat a jugé que cela ne permettrait pas que la question soit soulevée pour la première fois en appel. UNAT a rejeté l'appel et a confirmé le jugement...

Sur la question de la créance, Unat a jugé qu'il n'y avait aucun fondement à l'affirmation de l'appelant selon laquelle Unrwa DT avait dépassé sa compétence ou sa juridiction pour s'attaquer sommairement à Sua Sponte la question de la créance de la demande lorsque le commissaire général n'a pas soulevé cette question dans sa réponse. Unat a jugé que la demande de révision de l'appelant de la décision contestée avait été déposée près d'un an après avoir connu la décision implicite et était donc intempestive. Unat a rejeté les affirmations de l'appelant contre la participation du commissaire...

Unat a jugé qu'il était convaincu que le rejet de la demande comme non à créance était correct au motif que l'appelant n'avait pas demandé un examen de la décision dans le délai obligatoire, ce qui signifiait que l'UNRWA DT était exclu en droit . Unat a jugé que l'appelant n'avait pas identifié comment le jugement de l'UNRWA était en aucune façon défectueux ou a démontré que l'UNRWA DT avait commis une erreur en relation avec sa juridiction ou commis une erreur de fait ou de loi ou de procédure telle que celle de l'intervention par unat. UNAT a rejeté l'appel et a confirmé le jugement de l...

Unat a jugé que l'appelant avait soulevé les mêmes questions qu'il avait soulevées avant Unrwa DT et n'a pas identifié comment le jugement était en aucune façon défectueux. Unat a jugé que l'appelant n'avait identifié aucun des motifs d'appel requis et n'avait démontré que l'UNRWA DT a commis une erreur de fait ou de loi en arrivant à sa décision. Unat a jugé que le cas de l'appelant était entièrement et assez considéré par un Unrwa DT et n'a constaté aucune erreur de droit ou de fait dans sa décision. UNAT a rejeté l'appel et a confirmé le jugement de l'UNRWA DT.

UNAT a rejeté la demande de l’appelant d’une audience orale avant d’examen de l’appel. UNAT a également rejeté l'affirmation de l'appelant selon laquelle l'UNRWA DT a été biaisée en ordonnant que les cinq demandes soient consolidées en un seul jugement. En ce qui concerne l'appel lui-même, Unat a jugé que l'appel des décisions rejetant les prestations d'invalidité et concluant que la non-demande de licenciement non à recevoir n'avait aucune base légale. En ce qui concerne la contestation de l'appelant à la décision du commissaire général de rendre les conclusions du conseil médical OOT et de...

Unat a rejeté la demande d'audience orale constatant qu'il n'y avait pas besoin de clarification supplémentaire. Unat a jugé que l'appelant n'avait pas basé son appel à aucun motif d'appel conformément aux personnes établies dans le statut de l'UNAT. Unat était d'accord avec les conclusions de l'UNRWA DT sur la soumission prématurée pour examen de la prétendue décision administrative approuvant un nouveau workflow, la non-réévabilité de la contestation contre la directive au personnel du Département des finances de ne pas prendre les instructions de l'appelante, ainsi que comme la nature...

Unat a jugé que les appelants n'avaient pas spécifiquement identifié les erreurs qui prétendument commises par l'UNRWA DT et, par conséquent, les appels étaient défectueux pour cette raison, mais considéraient les appels étant donné que les appelants n'étaient pas légalement représentés. Unat a jugé que toute erreur sur une conclusion de fait du moment où les appelants reçoivent la notification de la décision administrative n'a pas abouti à une décision manifestement déraisonnable. Unat a jugé que la décision administrative était la communication verbale exprimée du refus de fournir une...

Unat a jugé qu'il n'y avait aucune erreur dans la décision de l'UNRWA DT que la demande de l'appelant était irrécouvrable. Unat a tenu que l'appelant avait été informé de la décision de ne pas le présélectionner par e-mail du 14 novembre 2019. Unat a jugé que les allégations de l'appelant concernant la suppression de son poste n'avaient aucune pertinence juridique pour l'appel, qui ne portait que sur les questions de créances. UNAT a rejeté l'appel et a confirmé le jugement de l'UNRWA DT.

Unat a convenu que la demande n'était pas à recevoir ratione materiae. Le tribunal a expliqué que le 21 mars 2019, il était devenu clair pour le membre du personnel que l'agence ne l'avait pas présélectionnée pour ces deux postes. Ces informations ont été confirmées le 21 mars 2019 par RH au membre du personnel. Le tribunal a également noté qu'il n'y avait rien dans les communications entre les parties indiquant que l'affaire serait rouverte ou reconsidérée. En outre, l'e-mail ultérieur de RH le 8 avril 2019 détaillant les raisons pour lesquelles elle n'a pas été sélectionnée n'était pas une...