Si les faits sur lesquels la mesure disciplinaire étaient fondées ont été établies en ce qui concerne le chef, le tribunal conclut qu'il existe des preuves claires et convaincantes que le requérant n'a pas divulgué son conjoint et son père en droit avec deux partenaires de mise en œuvre de l'UNICEF, de que le demandeur était le responsable du programme responsable au nom de l'UNICEF. Dans sa demande, le demandeur ne conteste pas non plus ce fait. Se tournant au compte deux, le tribunal est convaincu que le demandeur a reçu une allocation de dépendance de conjoint auquel il n'avait pas droit...
Le Tribunal reconnaît que la date limite de 120 jours pour que l'OIOS termine une enquête de représailles n'est pas obligatoire. Cependant, le tribunal est d'avis qu'un départ de cette date limite doit être juste. Compte tenu des circonstances de l'affaire, même si la date limite de 120 jours pour effectuer une enquête de représailles n'est pas obligatoire, le tribunal ne peut que conclure que les retards et les tentatives injustifiées de suspendre ou de mettre fin à l'enquête dans cette affaire constituent une violation flagrante de ST / SGB ​​/ 2017/2 / Rev.1. En ne lançant pas son enquête...
La décision contestée relevait de la marge d’appréciation de l’administration et a été un exercice raisonnable du pouvoir discrétionnaire. Dans le cadre du cadre juridique applicable, le demandeur n'a pas le droit de forcer l'administration à enquêter sur sa plainte. Au contraire, le responsable responsable reçoit un pouvoir discrétionnaire pour initier ou ne pas initier une enquête dans le cadre juridique applicable. Le décideur a raisonnablement décidé de ne pas enquêter sur la plainte du demandeur à la lumière de la démission du harceleur présumé. La décision a également été conforme à la...