Unat a considéré l'appel du commissaire général, qui a allégué que l'UNRWA DT avait commis une erreur en concluant que la décision de l'administration de l'UNRWA de ne pas informer M. Hamayel que son poste ne serait pas détenu pour lui pendant sa deuxième année de congé spécial sans salaire (SLWOP) était arbitraire et déraisonnable, viciant ainsi la décision de transférer M. Hamayel et en accordé des dommages-intérêts moraux. Unat a constaté qu'il était à la fois logique et raisonnable de s'attendre à ce que l'administration de l'UNRWA informe M. Hamayel que la prise d'une deuxième année de...